Passa já da hora o vosso despertar espiritual . . . Saiba que a tua verdadeira pátria é no mundo espiritual . . . Teu objetivo aqui é adquirir luzes e bênçãos para que possas iluminar teus caminhos quando deixares esta dimensão, ascender e não ficar em trevas neste mundo de ilusão . . .   Muita Paz Saúde Luz e Amor . . . meu irmão . . . minha irmã

quinta-feira, 29 de maio de 2014

149ª spirituel enseignement message-livre : nouvel ordre de Jésus





DOUZE À QUINZE MILLE INCARNATIONS COMPTE ACTUELLEMENT L'HUMANITÉ.
DEUX-TIERS SERONT EN MESURE DE RÉALISER DANS CE SIÈCLE (SEC.XX) SA RÉDEMPTION SPIRITUELLE.
PRATIQUER LES ENSEIGNEMENTS DU SEIGNEUR.
COURS DES VIBRATIONS ÉMISES SUR LA TERRE.

         L'humanité de cette fin terrestre du siècle (XXe siècle.XX) est constituée d'âmes qui doivent compter en moyenne de douze à quinze mille incarnations dans sol sol, où ils ont été tout ce temps à la recherche de progression légère et spirituelle. Ce nombre d'incarnations vécu dans toutes les régions du monde, sont plus que suffisant pour que les âmes incarné maintenant parvenus à la connaissance et l'expérience nécessaires à leur développement dans ce monde. Dans le domaine de la spiritualité, cependant, les progrès accomplis par eux sont encore insuffisante pour atteindre la rédemption convoitée, reconnue par le Seigneur Jésus et par les forces supérieures. On reconnaît aussi l'insuffisance des enseignements spirituels enseigné sur terre jusqu'au XXe siècle.XIX, considéré comme le circunscreviam des religions terrestres ses enseignements à une ligne entièrement de matière, impossible d'éveiller chez les personnes de l'intérêt pour la vie spirituelle.
Le Seigneur Jésus ne voulait pas à regretter qu'ont passé les siècles et les millénaires qui ont participé à nombreuses incarnations des âmes il y a, alors que tout est livré dans les délais le temps, pour le droit de tous les êtres humains. C'est pourquoi il a été déterminé lors de la venue de Jésus sur terre, cette fois dans l'esprit, à la poussée avec sa parole, ses conseils et ses enseignements, progrès moral et spirituel. Il a été dit par le Seigneur dans le précédent message qu'environ les deux tiers des âmes s'incarner dans ce siècle (XXe siècle.XX), peut atteindre parfaitement votre rédemption spirituelle dans cette école terrestre, donc si vous décidez d'accepter et de pratiquer les enseignements mis à terre par les messagers du Seigneur et aussi en apparaissant dans ces messages de Jésus. Un petit effort, la part des âmes actuellement incarnés sur terre pourrait leur conférer ce degré spirituel si convoité par chacun d'eux quand ils se sont retrouvés dans la perspective de descendre jusqu'au rez-de-chaussée. Ce veux pas effort vous précisiez, n'importe tout exercice qui peut amener les âmes de fatigue moindres incarné, mais ne se compose que de se transformer chaque jour à la divinité par la prière et la méditation dans le temps de le livrer à la maison. C'est le seul effort nécessaire aux âmes qui répondent en réalité une de ses incarnations de milionésimas jusqu'à ce que le relief du sol, à laquelle sera bientôt, autrement dit, pour compléter son présent rester sur terre, l'agréable surprise de recevoir dans le monde des esprits, qui récompensent que vous récemment à toutes les âmes qui ont réalisé leur rédemption spirituelle. J'ai aussi mentionné que le Seigneur, qui nécessitera plusieurs milliers d'âmes correctement préparés pour servir de guides spirituels des âmes dans la partie supérieure sont apprêtent à redescendre sur terre, et très heureux serait le Seigneur au pouvoir s'appuyer sur les âmes qui sont maintenant revenant au monde des esprits.
         Il peut sembler à certains lecteurs de ces messages qui le fait qu'une âme reviendra tous les jours pour la divinité, ne peut pas importer seul dans leur droite spirituel forwarding. Le Seigneur Jésus clarifie le but que la prière de la nuit de l'âme la met en relation directe avec la divinité, comme un fil de la lampe de votre cœur au cœur de la divinité, grâce auquel vous recevrez conseils et inspiration que toutes les âmes ont besoin pour le bon acheminement de vos traces sur terre. Ce lien permanent avec la divinité entraînera la suppression de plusieurs pièges de votre chemin, il placé précisément pour amener l'âme à faire appel à la divinité. Si cet appel se fait tous les jours au moment de l'accueil de nuit, il ne sera pas nécessaire, par conséquent, des pièges, qui empêchent la marche pacifique, passait alors la plupart des conditions bien-être et le bonheur sur la terre. Le jour que l'humanité s'autonomiser la valeur de la prière quotidienne à la divinité ; Il disparaîtra du chemin des âmes nombreuses difficultés et obstacles qui rendent la vie moins heureux. Ce jour-là, la vie terrestre est un continuum de paix et de joie, donnant toutes les créatures grand plaisir de la vie humaine. Les conseils et enseignements écrit dans ces messages du Seigneur comme objectif du « nouvel ordre de Jésus », une fois accepté et compris par les âmes incarnés dans toutes les latitudes de la terre, sont suffisantes pour fonctionner, tout d'abord, l'élévation de la catégorie des pensées de tous les êtres humains et par conséquent, l'élévation importante de la vie dans toutes les industries.
Le Seigneur Jésus est Désolé, si aucun des âmes s'incarner, autrement dit, certains hommes et femmes, au sein de leur libre volonté de penser et d'agir, peuvent sous-estimer la valeur de ce que le Seigneur Jésus commanda enfeixar dans ce volume, pour mieux continuer à vivre une vie pleine de matérialité afin de se conformer avec les plaisirs du corps. Ce très malheureux le Seigneur Jésus, même par le fait de l'ensemble actuel tourner ces âmes de l'humanité sur la terre, par manque de conditions nécessaires pour accompagner cette vague de la vie. C'est pourquoi le Seigneur Jésus fait appel à cette catégorie d'âmes, préciser que ce n'était pas la volonté démontrée par eux dans le monde des esprits de s'engager dans la réalisation de l'autorisation nécessaire du supérieur oblige de descendre une fois de plus dans le relief du sol. Lire, donc, et après les éclaircissements pourrait relire l'enfeixados Seigneur Jésus dans ce volume, dans la certitude que chaque nouvelle lecture nouvelles lumières seront trouve dans la parole du Seigneur. Et lorsque des questions d'interprétation peuvent survenir, adresse un appel au Seigneur et mentale bientôt recevoir exactement le sens de doute émergé.
Par ailleurs, le Seigneur Jésus veut clarifier toutes les âmes incarnées sur la facilité dont chacun doit aller au Seigneur Jésus, quant à combien va vous avez besoin pour vos éclaircissements. Le Seigneur Jésus dit le but que l'éther qui entoure et interpenetra de la planète, constitue en même temps un compte rendu des faits et des événements sur le terrain de la terre, mais aussi un véhicule de communication mentale de rare perfection. Ainsi, si une ou plusieurs âmes incarné ont besoin d'une clarification du Seigneur Jésus, d'envoyer une vibration mentale, que le Seigneur Jésus recevront facilement par le biais de l'éther et rapidement répondre le même véhicule vers la source.C'est par le biais de l'éther qui entoure et interpenetra de la planète, qui communiquent de toutes les âmes, les deux qui vivent dans le sol, comme le desencarnadas dans le monde des esprits. Une fois connu le processus de ce type de communication, les âmes qui exercent peuvent envoyer et recevoir des messages de le des constantes esprit monde, avec ce qui va devenir beaucoup plus agréable votre séjour dans la viande. Le processus en détail et ce qui suit : une âme émet une vibration mentale sur terre – une pensée – être de quelle manière est une âme du monde des esprits, comme une entité protectrice, y compris le Seigneur Jésus, c'est-à-dire les vibrations sur ondes Ethereal votre véhicule parfait qui mène au point de vous excité par la source. L'objectif approuvé par le réseau d'esprit reçoit le contenu de vibrations émises instantanément avec la clarté du plus parfait service communication existant sur terre. Recevant les vibrations émises par l'âme incarnée, cela sera répondu instantanément à travers les mêmes ondes éthérées ; est-ce un cri pour l'aide, de l'aide ou des précisions. Pour cela, le Seigneur Jésus déclare qui assisteront à bref délai à toutes les âmes qui ont besoin de quelques précisions sur le contenu de ces messages ou autre affaire qui doit être précisée.
Voir ce qu'ai est estimée à lecteurs, Seigneur Jésus, bien qu'il est investi par le Père céleste de l'énorme responsabilité de gouverner et de conduite près de 10 milliards d'âmes dans le terrain de cycle évolution, encore souhaite clarifier individu tous qui font appel à lui pour des éclaircissements. Et pourquoi faites-vous cela ? -peut quelqu'un n'oubliez pas de vous renseigner. Le Seigneur Jésus clarifie le but que cette partie de la Loi de l'amour, la loi qui devrait inspirer et régissent la vie de toutes les âmes de l'univers. Et pris en charge dans la Loi de l'amour, par conséquent, que le Seigneur est long et est prêt à répondre à des millions de requêtes sont dirigées par des âmes incarnés à votre meilleure clarification. Est la Loi de l'amour qui unit et renforce les liens de fraternité dans tous les plans de l'esprit du monde habité par plusieurs millions d'âmes, unissant également ceux que l'on trouve sur terre. Est la Loi de l'amour qui prend les entités approche a évolué de la maladie du corps ou de l'âme dans les hôpitaux et maisons de santé de la terre, tout faire pour alléger leurs souffrances selon ses possibilités. Et la Loi d'amour, cependant, utilise les prières élevées pour les âmes de bonne volonté et de la charité, pour alléger les souffrances et difficultés qu'embarrasser le bonheur, la paix et le bien-être de toutes les âmes s'incarner dans sol sol.

Source : Livre : nouvel ordre de Jésus
Paroles de lumière et d'amour réalisé par le Seigneur pour les hommes et les femmes responsables du champ dans le monde entier.
Esprit écrit par : Diamantino Coelho Fernandes
Dictée par l'Apôtre ici en 13/11/1971 à Rio de Janeiro-Brésil


Le Seigneur Jésus veut faire leur message connu à tous les peuples de la terre. Car qu'ici if déclare le droit à la libre traduction et l'impression de cette œuvre dans n'importe quelle langue, avec l'engagement rigoureux à quoi que ce soit, si vous modifiez le texte, en citant la source cependant.

149ª spirituale insegnamento messaggio-libro: nuovo ordine di Gesù



DODICI A QUINDICIMILA INCARNAZIONI CONTO L'UMANITÀ ATTUALE.
DUE TERZI SARANNO IN GRADO DI REALIZZARE IN QUESTO SECOLO (SEC.XX) SUA REDENZIONE SPIRITUALE.
PRATICA GLI INSEGNAMENTI DEL SIGNORE.
CORSO DELLE VIBRAZIONI SULLA TERRA.

         L'umanità di questa fine terrena del secolo (XX secolo.XX) è costituito da anime che devono contare in media dodici a quindicimila incarnazioni nella terra del terreno, dove sono stati tutto questo tempo in cerca di progresso spirituale e luce. Questo numero di incarnazioni vivevano in tutte le regioni del mondo, sono più che sufficiente a che anime incarnato ora hanno raggiunto la conoscenza e l'esperienza necessarie al loro sviluppo in questo mondo. Nel campo della spiritualità, tuttavia, i progressi compiuti da loro sono ancora insufficienti per raggiungere la redenzione ambita, riconosciuta il Signore Jesus e le forze superiori. È anche riconosciuto la mancanza di insegnamenti spirituali insegnato sulla terra fino al XX secolo.XIX, visto come le religioni terrene circunscreviam suoi insegnamenti per una linea interamente materiale, in grado di risvegliare nella gente l'interesse nella vita spirituale.
Il Signore Jesus non ha voluto rimpiangere che così hanno superato i secoli e millenni che hanno partecipato le numerose incarnazioni delle anime ci sono, considerando che tutto viene a suo tempo, per il diritto di tutti gli esseri umani. Ecco perché è stato determinato alla venuta del Signore Jesus a terra, questa volta nello spirito, a Spinta con la sua parola, i propri consigli e insegnamenti, progresso morale e spirituale. È stato detto dal Signore nel messaggio precedente che circa due terzi delle anime incarnarsi in questo secolo (XX secolo.XX), può realizzare perfettamente la redenzione spirituale in questa scuola terrena, quindi se si decide di accettare e praticare gli insegnamenti portati a terra dai messaggeri del Signore e anche comparendo in questi messaggi di Gesù. Un piccolo sforzo da parte di anime attualmente incarnate sulla terra potrebbe conferire loro quel grado spirituale così ambita da tutti loro quando si sono incontrati prima di scendere al piano terra. Questo sforzo-voglia di non chiarire, importa in qualsiasi esercizio che può portare il minimo affaticamento anime incarnato, ma consiste solo di svolta quotidianamente alla divinità attraverso la preghiera e la meditazione in tempo a consegnarla a casa. Questo è l'unico sforzo richiesto alle anime che si incontrano in realtà un'altra delle sue incarnazioni milionésimas fino al terreno terreno, attraverso cui sarà presto, che è, per completare il suo presente di rimanere sulla terra, la piacevole sorpresa di ricevere nel mondo degli spiriti, che premiano che hai recentemente a tutte le anime che hanno raggiunto la loro redenzione spirituale. Ho citato anche il Signore, che richiederà molte migliaia di anime adeguatamente preparate a servire come guide spirituali delle anime nella parte superiore si stanno preparando a scendere nuovamente a terra, e molto felice sarebbe il Signore al potere si affidano le anime che sono di ritorno da ora al mondo dello spirito.
         Può sembrare ad alcuni lettori di questi messaggi che il fatto che un'anima tornerà al giorno per la divinità, non è possibile importare da soli nel loro giusto spirituale di inoltro. Il Signore Jesus chiarisce lo scopo che la preghiera della notte di un'anima la mette in collegamento diretto con la divinità, che stabilisce come un filo di luce dal tuo cuore al cuore della divinità, attraverso la quale riceverete consigli e ispirazione che necessitano di tutte le anime per il corretto instradamento delle tue orme sulla terra. Questo collegamento permanente con la divinità comporterà la rimozione di diverse insidie della strada, è collocato proprio per portare l'anima a fare appello alla divinità. Se tale chiamata viene svolto giornalmente al momento della notte in casa, non ci sarà alcun bisogno, pertanto, delle insidie che impedire la marcia pacifica, succedendo poi la maggior parte delle condizioni benessere e la felicità, mentre sulla terra. Il giorno che l'umanità se potenziare il valore della preghiera quotidiana alla divinità; Scomparirà dal percorso delle anime numerose difficoltà e gli ostacoli che rendono la vita meno felice. Quel giorno la vita terrena è un continuum di pace e di gioia, dando tutte le creature di grande piacere del vivere umano. I consigli e gli insegnamenti scritti in questi messaggi dal Signore come obiettivo del "nuovo ordine di Gesù", una volta accettato e capito dalle anime incarnate in tutte le latitudini della terra, sono sufficienti per operare, in primo luogo, l'elevazione della categoria dei pensieri di tutti gli esseri umani e di conseguenza, l'altezza notevole della vita in ogni settore.
Il Signore Jesus sarà desolata, se nessuna delle anime incarnato, cioè, alcuni uomini e donne, all'interno della loro libera volontà di pensare e di agire, possono sottovalutare il valore di ciò che il Signore Jesus comandato enfeixar in questo volume, meglio continuare a vivere una vita piena di materialità al fine di soddisfare i piaceri del corpo. Questo molto infelice il Signore Jesus, anche dal fatto il set corrente girare queste anime dell'umanità sulla terra, per la mancanza delle condizioni necessarie al fine di accompagnare questa ondata di vita. Ecco perché il Signore Jesus fa un appello a quella categoria di anime, chiarendo loro che che non era la volontà dimostrata da loro nel mondo degli spiriti di impegnarsi a raggiungere la necessaria autorizzazione del superiore costringe a scendere nuovamente al terreno terreno. Leggere, dunque, e seguendo i chiarimenti potrebbe ri-leggere il enfeixados Signore Jesus in questo volume, nella certezza che ogni nuova lettura nuove luci troveranno nella parola del Signore. E quando possono sorgere domande di interpretazione, indirizzo un appello al Signore e mentale presto ricevere l'esatto senso di dubbio emerso.
A proposito, il Signore Jesus vuole chiarire tutte le anime incarnate sulla facilità di cui tutti dobbiamo andare al Signore Jesus, quanto a quanto vi sarà necessario per il chiarimento. Il Signore Jesus dice lo scopo che l'etere che circonda e interpenetra il pianeta, costituisce allo stesso tempo una registrazione di fatti ed eventi sul terreno terreno, ma anche un veicolo di comunicazione mentale di rara perfezione. Così, se uno o più anime incarnato hanno bisogno di un chiarimento di Jesus il Signore, di inviare una vibrazione mentale, che il Signore Jesus riceverà prontamente attraverso l'etere e prontamente rispondere lo stesso veicolo verso la sorgente. È attraverso l'etere che circonda e interpenetra il pianeta, che tutte le anime comunicano, entrambi che vivono nel terreno, come il desencarnadas nel mondo degli spiriti. Una volta noto il processo di questo tipo di comunicazione, le anime che esercitano possono inviare e ricevere messaggi dalle costanti del mondo di spirito, con quello che diventerà molto più piacevole il soggiorno nella carne. Il processo in dettaglio e il seguente: un'anima emette una vibrazione mentale sulla terra – un pensiero – essere che il senso è sia uno spirito affine dal mondo dello spirito, come entità protettiva, compreso il Signore Jesus, che è una vibrazione sulle onde Ethereal vostro veicolo perfetto che porta al punto è esaltato dall'origine. La destinazione approvata dalla rete mente riceve vibrazioni emesse contenuto istantaneamente con la chiarezza del più perfetto servizio comunicazioni esistente sulla terra. Ricevendo la vibrazione emessa dall'anima incarnata, questo verrà immediatamente risposto attraverso le stesse onde eteree; è un grido di aiuto, di aiuto o chiarimento. Per questo il Signore Jesus dichiara che parteciperà prontamente a tutte le anime che hanno bisogno di alcuni chiarimenti circa il contenuto di questi messaggi o altra impresa che ha bisogno di chiarimenti.
Vedere ciò che ai è stimato come lettori, Signore Jesus, anche se investito dal padre celeste dell'enorme responsabilità di governare e condurre vicino ai 10 miliardi di anime sul terreno del ciclo di evoluzione, ancora è disposto a chiarire individuo che appello a lui per alcuni chiarimenti. E perché fare questo? -qualcuno può ricordare a informarsi. Il Signore Jesus chiarisce lo scopo che questa parte della legge dell'amore, la legge che dovrebbe ispirare e governano la vita di tutte le anime dell'universo. E supportato nella legge dell'amore, quindi, che il Signore è lungo ed è disposto a incontrare milioni di richieste sono diretti da anime incarnate per tuo chiarimento migliore. È la legge dell'amore che unisce e rafforza i legami di fratellanza in tutti i piani dal mondo dello spirito abitato da molti milioni di anime, unendole anche quelli che si trovano sulla terra. È la legge dell'amore che prende le entità approccio evoluto dei malati del corpo o l'anima in ospedali e case di salute della terra, facendo tutto per alleviare la loro sofferenza secondo le sue possibilità. E la legge dell'amore, però, utilizza le preghiere elevate per le anime di buona volontà e carità, per alleviare le sofferenze e difficoltà che imbarazza la felicità, la pace e il benessere di tutte le anime incarnato nella terra del suolo.

Fonte: Prenotare: nuovo ordine di Gesù
Parole di luce e amore diretto dal Signore per gli uomini e donne responsabili di campo in tutto il mondo.
Spirito, scritto da: Diamantino Coelho Fernandes
Dettata dall'apostolo qui in 13/11/1971 a Rio de Janeiro-Brasile


Il Signore Jesus vuole rendere il loro messaggio noto a tutti i popoli della terra. Per che qui se dichiara il diritto alla libera traduzione e stampa di questo lavoro in qualsiasi lingua, con l'impegno rigoroso per nulla se si modifica il testo, citando la fonte, tuttavia.

PROLOGO 2ª Parte - Livro: Vida de Jesus ditada por Ele Mesmo. Batei, e abrir-se-vos-á Pedi, e dar-se-vos-á¹



“Não somente foi adulterada minha palavra até na letra, como também em sua própria essência a desfigurou o atraso dos homens, desses mesmos que a ouviram de meus próprios lábios.

“Não é orar o repetir palavras com o corpo curvado para terra e o semblante coberto pela máscara da devoção e da humildade.

“Não oravam os escribas e os fariseus, porquanto sua linguagem não era a da alma e somente é a alma que até ao Pai se eleva pelo amor.

“O que muito ama já orou; o que deseja o bem de seus semelhantes, já orou também, e o que faz propósito firme de não pecar dominando a natureza carnal, o egoísmo e todas as baixas paixões, esse bateu, e abrir-se-lhe-á, esse pediu, e dar-se-lhe-á.

“Pedi assim com a alma, elevando o espírito para Deus pela sinceridade de vossos propósitos e pelo amor que deve reinar em vossos corações, assim também tereis orado como eu vos ensinei.”

PRÓLOGO
Nenhuma obra teve tanta ressonância nestes últimos tempos como a medianímica, intitulada VIDA DE JESUS DITADA POR ELE MESMO. Basta dizer que todas as revistas que se ocupam de estudos psíquicos e psicológicos tributaram-lhe grandes elogios, tanto pelo estilo e natureza transcendental da obra, quanto pela abundância das provas colhidas em apoio de sua autenticidade.¹ Eu mesmo, tão inimigo do livro e até do autor,² tive que curvar-me ante a evidência dos fatos de caráter medianímico³ e pessoal, que me assediavam sem cessar, corroborando o que já tinha sucedido em torno da mesma obra e aumentando consideravelmente seu valor como obra medianímica, pela evidente autenticidade de sua origem.

1 - É sabido que tanto a 1ª como a 2ª parte foram recebidas pela mediunidade de escrita mecânica e submetidas a um rigoroso controle.

2 - Muitos, guiados exclusivamente por sua boa-fé, tomaram a mal minha opinião contrária à personalidade de Jesus; porém eu creio que merecem mais respeito as opiniões formadas por meio da investigação e do estudo, com inteira honradez e sinceridade e sem outro propósito que o de chegar à certeza, que as opiniões aceitam, como por herança, com os olhos fechados e sem o menor esforço intelectual.

Considero, não obstante, dignas do maior respeito todas as crenças sinceras, porém me ocorre perguntar ao leitor se não lhe parece que algo de muita transcendência deve haver sucedido, para que eu, contra meus interesses e tendo a meu favor os argumentos, provas e dados numerosíssimos, que os investigadores modernos lograram amontoar ao redor da tese que eu defendia, que algo de muita transcendência, repito, devia ter sucedido para que eu mesmo me confessasse em erro, passando-me com armas e bagagem ao campo contrário.

3 - Inútil seria dar aqui maiores detalhes sobre este particular, a não ser que o fizesse com muito desenvolvimento, pois, não se compreenderia, pela forma inteiramente espiritual das manifestações, que se afasta um tanto da materialidade tão procurada no fenomenismo.

Um só exemplo vou apresentar (o de menor valor talvez) pelo curioso e inesperado de sua manifestação. Em minhas constantes discussões contra a personalidade de Jesus costumava dizer que não era possível crer que a Inteligência Suprema, Deus mesmo, fosse tão pouco hábil que mandasse seu Messias, revelador da nova doutrina, a Jerusalém, desconhecendo as vantagens que poderia ter alcançado sua predicação, do prestígio e domínio que Roma e Atenas exerciam no mundo, a primeira por seu poderio militar e a segunda por sua cultura, porquanto nenhuma força de expansão teriam de adquirir as novas doutrinas no meio de um povo que carecia do menor prestígio no mundo civilizado, não contando com poderio militar, nem com um comércio de importância, nem com riquezas, nem com indústrias, artes, letras, nem ciências capazes de dar-lhe alguma notoriedade.

As contestações que recebi a este argumento, levado ao próprio terreno do adversário, encontrei-as sempre frouxas e mais me pareciam evasivas. Porém, eis que muito tempo depois, um ano talvez, de haver repetido o argumento e quando me encontrava em sessão experimental na Sociedade Científica de Estudos Psíquicos, completamente alheio meu pensamento a questões filosóficas ou religiosas, ou que simplesmente se relacionassem com Jesus, ofereceu-se por minha própria mão, a seguinte comunicação semimecânica

“Querem hoje os homens ver no Messias, a quem antes negaram, não já o mediador, como a vontade do Pai havia estabelecido, senão a personificação nele, do próprio Pai que o enviou.”Jamais, porém, saíram dos lábios de Jesus tão temerários ensinamentos; mas preciso é, irmãos meus, curvarem-se perante os altos desígnios de Deus, que por meios incompreensíveis para o homem, cerca a verdade em cada tempo da forma de prestígios que mais lhe convém, para que sejam cumpridos os propósitos de seu novo ensinamento entre seus filhos; honrai, pois, assim ao Messias, nessa época de sua filiação divina na Terra, honrai-o com a verdade que o dito por ele comporta, no meio do tempo e dos acontecimentos que o rodearam . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . .
A superstição e o desejo do maravilhoso, fomentados pelas fantasias de um discípulo que muito distante se encontrava dos verdadeiros propósitos do mestre, rodearam a minha pessoa dos  prestígios da Divindade, pela divulgação de falsos milagres, concorrendo com isto para que corressem as turbas ao encontro do portador da boa nova, do novo Profeta, do Messias tantas vezes anunciado, do salvador prometido e esperado tão pacientemente pelas gerações que se sucediam. Eis, pois, explicado o verdadeiro milagre, do qual dependia a notoriedade avassaladora do filho de humilde carpinteiro de Nazareth, a rápida divulgação de seus ensinamentos e a prova de tão indiscutível autoridade que se levantava frente a frente das Sagradas Escrituras, frente a frente do orgulhoso Sinedrim e frente a frente da tradição inteira com todos os seus profetas e com todos os seus divinos mensageiros.

Assim também teve que suceder, pois a criança só comporta a linguagem da criança e não era possível que se tornassem estéreis os esforços do celeste semeador da nova semente, ao revelador da palavra do Senhor, que vinha em seu nome estabelecer a paz entre o império da Terra e os impérios dos Céus.

Se certamente sua palavra não estava destinada a ser compreendida e seguida inteiramente durante o tempo de sua presença entre esses homens atrasados e rudes da Judéia, ela não obstante tinha seu papel de importância que desempenhar no seio do único povo que fazia da religião uma necessidade e da prática de suas doutrinas uma parte inerente à sua vida diária. Era daí, de onde devia tirar sua força de expansão, e tirou-a, não sem que dela algo aproveitasse também o mesmo povo hebreu tratado com bastante dureza mais tarde, em conseqüência do horrível crime de haver empapado as mãos no sangue do Enviado Celeste, que vinha levantá-lo da abjeção em que se encontrava, pelas rudes condições de sua vida devidas ao atraso moral e intelectual, em que gemia.

“Erro é o afirmar a falta de oportunidade para a nova revelação na Judéia, porquanto não era o prestígio do êxito, não era a vitória do forte contra o fraco, não era o triunfo das paixões sanguinárias e o domínio estabelecido pelo terror, o que podia dar força de expansão à doutrina do amor aos nossos semelhantes, do perdão das ofensas e do retribuir o bem por mal. São justamente os fracos e os vencidos, os que sofrem, os que têm sede e fome de verdade e de justiça, são estes, justamente estes os únicos que elevam seus olhares ao céu e suas preces ao Senhor, e foram justamente os pobres e os deserdados, os enfermos e os perseguidos, os que eram vítimas da opressão dos poderosos, foram estes os que recolheram minhas palavras e as levaram aos quatro ventos.

“Oh!... Não me rechaceis agora, vós outros porque não me apresento com os sinais da evidência material e com o prestígio dos grandes fenômenos.

“Sempre o milagre, sempre o maravilhoso para dar valor à verdade!

“Eu não posso deixar minha natureza espiritual para entregar-me a exercícios de um fenomenismo material, magnífico para vós, porém indigno da elevada missão que venho novamente desempenhar entre vós ao abandonar as elevadas regiões onde a vontade do Pai me colocou.

“Oh! Não me rechaceis, pois, não rechaceis minha palavra, que é hoje a mesma de ontem, porquanto fui sempre vosso Messias, o Filho de Deus que haveis desconhecido, o Enviado de meu Pai, o Revelador da eterna verdade, assim como da vontade divina. Não rechaceis, pois, minhas palavras, porque rechaçaríeis a palavra de Deus. Vinde a mim de preferência pela humildade e pelo amor; chamai-me com a alma, que sempre me encontrarei onde dois ou mais se reúnam em meu nome. Não vos enganeis, pois, porque o que agora vos digo já antes vos disse. Não vos ofusquem a vaidade e os interesses mundanos. Desprendei-vos de vossas paixões e do apego dos bens materiais. Pensai em mim com sinceridade e com amor e me reconhecereis.”

                                                                                      JESUS DE NAZARETH.

Tão acertada e sábia resposta demonstra um perfeito conhecimento de causa de quem a produzia que não podia ser outro senão o mesmo protagonista. Demonstra ao mesmo tempo que a Judéia tinha sido escolhida realmente com muita antecedência para pedestal da nova revelação e que ao ser escolhida se procedeu, não ao acaso, senão com inteira consciência das vantagens que oferecia. A manifestação, portanto, resulta inteiramente oposta ao modo de pensar do instrumento por cujo intermédio foi recebida. Por outra parte, a perfeita consciência que demonstra dos detalhes da obra, não somente prova, com muita clareza, que é de Jesus em verdade de quem se trata, senão que a simplicidade, cheia de elevação, assim como a certeza e a veemência das afirmações, produzem a mais profunda impressão de verdade e de sinceridade.

A dúvida torna-se impossível e tem-se que admitir como verdadeira a assinatura daquele que deu tal comunicação. Porém, se isto não bastasse, a “Sociedade Científica de Estudos Psíquicos”, onde se recebeu a série de comunicações que formam, com a presente, o segundo tomo da “VIDA DE JESUS” (intitulado: Complemento), constitui por si só a melhor garantia de seriedade e veracidade, além das numerosíssimas e continuadas provas de autenticidade que a favor da obra se tem recebido sob formas diversas e por meio de vários intermediários.

O Sr. Ernesto Volpi, cavalheiro e distinto chefe do exército italiano, também diretor do Vesillo Spirita, disse que nenhum cristão deve carecer de um exemplar da VIDA DE JESUS DITADA POR ELE MESMO e que dela deveriam publicar-se numerosas edições em todos os idiomas, não se podendo fazer maior bem que o de sua divulgação.

Por minha parte, posso assegurar que não conheço ninguém que haja lido este livro e não se tenha convertido em seu entusiasta propagandista.

                                                                                               OVIDIO REBAUDI

¹ Comunicação publicada pela Revista Magnetológica no número correspondente ao mês de janeiro de 1911 e recebida pelo Médium XX, da Sociedade Científica de Estudos Psíquicos.

¹ É sabido que tanto a 1ª como a 2ª parte foram recebidas pela mediunidade de escrita mecânica e submetidas a um rigoroso controle.

² Muitos, guiados exclusivamente por sua boa-fé, tomaram a mal minha opinião contrária à personalidade de Jesus; porém eu creio que merecem mais respeito as opiniões formadas por meio da investigação e do estudo, com inteira honradez e sinceridade e sem outro propósito que o de chegar à certeza, que as opiniões aceitam, como por herança, com os olhos fechados e sem o menor esforço intelectual.

Considero, não obstante, dignas do maior respeito todas as crenças sinceras, porém me ocorre perguntar ao leitor se não lhe parece que algo de muita transcendência deve haver sucedido, para que eu, contra meus interesses e tendo a meu favor os argumentos, provas e dados numerosíssimos, que os investigadores modernos lograram amontoar ao redor da tese que eu defendia, que algo de muita transcendência, repito, devia ter sucedido para que eu mesmo me confessasse em erro, passando-me com armas e bagagem ao campo contrário.

³ Inútil seria dar aqui maiores detalhes sobre este particular, a não ser que o fizesse com muito desenvolvimento, pois, não se compreenderia, pela forma inteiramente espiritual das manifestações, que se afasta um tanto da materialidade tão procurada no fenomenismo.

Fiz já declaração pública de que obtive a convicção no mais além, devido à minha própria mediunidade de escrita mecânica, a qual perdi uma vez adquirida minha completa convicção. Em troca escrevo sob ditado com assombrosa facilidade, porque recebi desenvolvimento especial para isto. Tudo isto é dito não sem grande esforço, pois, no meio da ignorância que a respeito destas coisas ainda nos rodeia é grande o prejuízo que sofro como profissional. Mas estas coisas devem sabê-las os adeptos que me honraram com sua companhia e ajuda.

Sendo um enviado de Deus, converteram-no depois no próprio Deus. É o que quer dizer.


terça-feira, 27 de maio de 2014

CAPÍTULO XVI – Livro: Vida de Jesus ditada por Ele Mesmo Paixão e morte de Jesus. Seus primeiros instantes ao abrir os olhos do espírito no mundo espiritual. Observações que lhe dizem respeito e referentes às condições da vida humana que se desenvolve em geral no meio das trevas da maldade e da ignorância.



Irmãos meus, a morte revela ao espírito o seu passado e o seu futuro. A morte desprende a alma da matéria e liga-a estreitamente ao espírito, de maneira que o espírito torna-se invulnerável por meio da alma. Quer dizer que não tem mais falta de memória, ímpetos furiosos, interrupções ou diminuições em sua penetração e atividade, porque a alma, livre das quedas que lhe imprimia a natureza corporal, dilata-se constantemente ao contato das perfectibilidades da inteligência.

A alma associada ao corpo se atrofia na atmosfera das causas mórbidas e o espírito torna-se pesado pela embriaguez dos sentidos materiais, deixa de ser produtor e arroja-se nos braços de extravagantes demonstrações.

A morte devolve a alma e o espírito à natureza que lhes é inerente; uma contemplativa, a outra laboriosa; as duas se alimentam do princípio espiritual, até sua próxima nova dependência da natureza humana. A morte guarda ao espírito suas lembranças consoladoras e do mesmo modo as funestas. Para um ser malvado a lembrança é um castigo; para os fortes e os justos é o consolo e o engrandecimento. O remorso toma formas diferentes, todas fundamentadas sobre as impressões das recordações, e o benefício da esperança não existe para os infelizes que se encontram embargados pela visão do delito e do temor da represália. A luz do porvir faz-se mais ou menos clara para os espíritos volvidos à liberdade devido à morte corporal.

A liberdade conquistada na luta da inteligência com os instintos carnais prepara o espírito para a audácia de todas as tentativas e a alma para a força de todas as sensações.

A ciência nasce da liberdade do espírito e da força da alma. Ela desilude a criatura das grandezas efêmeras e dá-lhe o desprezo pelas cousas humanas.

Os desviados do sentido moral, os famintos de alegrias mundanas, os indignos possuidores das faculdades intelectuais, os heróis assassinos, todos os ímpios por ociosidade, todos os incapazes por covardia, encontram-se dominados pelo terror na vida espiritual, até sua primeira correção do orgulho, que assinala a primeira impressão corroborante de sua alma, o primeiro esforço de seu espírito, para compreender algo mais do que os rodeia.

A fácil compreensão de sua transformação abrevia para o espírito o momento da penosa surpresa, ao mesmo tempo que certa presteza de raciocínio o dispõe para a resignação, para a coragem, para o estudo. Em todas as mansões espirituais encontram-se misturados espíritos de aptidões diversas. Em cada etapa da vida humana mantêm-se espíritos superiores à generalidade do povo. A Terra recebe espíritos novos, obrigados a se emanciparem com provações, cuja duração e rigor são estabelecidos pela justiça de Deus.
A Terra recebe em seu seio espíritos pervertidos, marcados com um estigma pela justiça de Deus e que somente se apagará depois de numerosas estadas entre os homens.

Além destes dois aspectos da humanidade terrestre, os espíritos se distinguem por seus graus de adiantamento. Imediatamente depois dos espíritos demasiado novos para compreenderem o princípio espiritual, temos o espírito preguiçoso, o espírito cético por orgulho, o espírito supersticioso por fraqueza, todos responsáveis por seus atos e que podem melhorar na vida espiritual. Os inteligentes, os investigadores, os sábios, os apóstolos e os Messias adejam nas mansões materiais e constituem os focos do progresso. Os espíritos considerados capazes de colaborarem no progresso universal, encontram-se repartidos e colocados nos mundos carnais, de acordo com as forças de que cada um dispõe e segundo o adiantamento moral que deve resultar de sua ação nos determinados centros humanos, mediante o bom cumprimento de sua missão. A esses corresponde penetrar o mistério da vida e da morte, não obstante as trevas que os rodeiam; corresponde-lhes também fazer reconhecer e adorar o princípio criador e inteligente, fonte de ciência e de imortalidade, reduzir a pó os ídolos e levantar um templo a Deus. Se desviam seus olhares do objetivo que lhes está assinalado, se se apartam do progresso para seguir as velhas contendas das paixões corporais, se se formam um ideal de glória pessoal com o desprezo dessa sublime tradição de seus antecessores, isto é: “Que é preciso vencer ou morrer, pela verdade, qualquer que seja o cortejo imposto às vitórias ou às derrotas; que é preciso sacrificar o interesse pessoal pelo interesse geral e elevar-se entre os homens, humilhando-se diante de Deus” se, finalmente, eles perdem a fé e a coragem, se sucumbem, Deus os separa, momentaneamente, da grande falange de seus mandatários.

A Terra teve e tem ainda muitos Messias, apóstolos, cientistas, investigadores e inteligentes. Mas podem-se contar facilmente os espíritos que, mediante uma força de vontade persistente, hajam determinado movimentos sensíveis na marcha ascendente da Humanidade. Estes espíritos meditativos ou agitadores, que trazem a boa nova para o futuro, raras vezes se vêem honrados e seguidos durante sua passagem humana. Quase sempre se extinguem em uma obscuridade miserável ou morrem ignominiosamente diante do povo.

Já fizemos a narração da morte de Jesus tendo por espectador o povo; ocupemo-nos, irmãos meus, da felicidade de Jesus depois de sua morte corporal e das recordações que conservou, depois de séculos de transfiguração, sem exagerar a parte desta confidência de meu espírito para com os vossos espíritos. Demonstrei-vos minha personalidade, afirmei-vos minha identidade, contei-vos minhas fraquezas, meus sofrimentos, minhas horas agradáveis, meus lampejos entre as sombras da natureza humana e meu martírio sobre a cruz. Não terei que completar agora minha obra iniciando-vos nas delícias de minha alma, nas honras de meu espírito, ávido de amor e de descobrimentos?

A morte corporal causa o aniquilamento da faculdade pensante e dos ímpetos da alma. A matéria dorme para sempre, a alma e o espírito dormem durante uma temporada limitada pela justiça divina.

A alma e o espírito de Jesus dormiram durante algumas horas. O apagar-se das cenas terríveis a que havia assistido Jesus como ator principal foi o primeiro benefício de seu despertar e a certeza de sua felicidade veio-lhe da recordação de sua memória.

Jesus esquecia seu recente passado, entretanto recordava as promessas feitas à sua laboriosa atuação. Jesus nada percebia já das torturas humanas e sua alma parecia voltar a um formoso sonho ao mesmo tempo que seu espírito buscava o motivo do movimento que se produzia a seu derredor e a causa das
excitações de sua vontade para sacudir o entorpecimento que o mantinha imóvel.

Pouco a pouco o sentimento de sua própria força se misturava com os desejos de Jesus, e manifestou sua presença com uma invocação de poucas palavras:

                           “Meu Pai.”

Muitas vozes lhe responderam:

                          “Deus te ama e te abençoa!

Muitos rostos se inclinaram sobre o meu, reconheci-os e lhes sorri... E a luz feita tornou-se mais intensa. Espíritos dispersos se reuniam; a harmonia das cores e dos sons inundou a alma de Jesus em um êxtase divino e seu espírito clarividente mediu a extensão das conquistas da inteligência, chegada à possessão da força espiritual, livre das fraquezas da natureza material. A subordinação de sua alma descobriu a Deus e sua liberdade espiritual entreviu no infinito os trabalhos inumeráveis da ciência infinita.

As emanações sensitivas das perfeições de Deus resultam como uma alavanca para alcançar as honras da perfeição de Deus e a vida espiritual, sem regresso possível à vida material, constitui um êxtase completo, formado pelos tesouros do amor de Deus.

Jesus começou com demonstrações limitadas no meio de sua família espiritual, depois elevou-se na hierarquia espiritual, estudando os princípios gerais do Universo.

Todos os espíritos, em tal estado, sem possível regresso à vida carnal, estão dispostos para o estudo e colocam em comum suas forças para fecundar o caminho dos mundos.

Todos estão ligados pelo amor fraterno e se fortalecem com uma contínua dedicação para as cousas inferiores dentro da ordem universal, todos devem ou podem descrever as harmonias da criação. Porém, se os seres no estado espiritual permanecem intimamente ligados em suas forças para concorrer à glória do Criador, acontece com eles o que sucede com todos os seres de uma mesma categoria: os entusiastas vão na frente dos tímidos e os retardatários se vêem estimulados pelo exemplo e animados pelo amor.
Que uma sombra entre tantas sombras, que uma luz no meio de tantas luzes, atraia mais especialmente as investigações do espírito; este espírito, apesar de precedido e seguido por milhares de outros, pode iniciar-se entre os primeiros nas causas da sombra, nas fases da luz.

Geralmente a sombra anuncia um germe de futuras explosões, ou um mundo espiritual transitório ou ainda um mundo carnal em decrepitude.

A luz indecisa e parcial indica a incerteza dos princípios conservadores e frutíferos, tanto seja de um mundo espiritual, como de um carnal. A magnificência de Deus manifesta-se principalmente onde resplandecem os sóis e os mundos de primeira magnitude. Estes sóis e estes mundos não são iguais, e suas evoluções seguem a posição, ou estão em relação com a posição que ocupam nos planos do Éter.

Jesus devia recordar sua anterior mansão muito cedo para cumprir as promessas que havia feito a muitos; muito tarde para que seu espírito não se visse turbado por imagens de morte.

Da elevada esfera habitada por ele, Jesus avistou a Terra e procurou os meios para revelar-se a seus amigos. A manifestação do pensamento poucos preparativos exige do pensamento, desde que só faz falta alguma semelhança dos desejos do mesmo instante, para que o espírito, livre dos vínculos materiais, se identifique facilmente com o espírito humano.

As manifestações mais raras do pensamento para com o pensamento, evidenciadas com formas ostensivas, dependem de uma faculdade preventiva ou acidental, que o espírito humano honra e da qual faz mau uso.

Não é esta a oportunidade para indicar os perigos e os escolhos de qualquer manifestação provocada com propósitos fúteis de curiosidade ou de interesses materiais, porém, o que devo afirmar é que os espíritos de luz não empregam as manifestações materialmente comprovadas senão para a glória de Deus e em cumprimento de um dever fraternal.

Jesus, acostumado a ler no espírito de seus amigos mais estimados, encontrou-os dispostos a reconhecer os benefícios de suas inspirações e os consolou e amparou nas provas que tiveram que suportar e consolidou sua fé; colocou também na alma de muitos dos que o haviam perseguido, o remorso do delito e o desejo de sua reparação. Jesus iluminou os ignorantes e os fracos; Jesus comunicou-se com as almas amantes e estas almas amantes arrancaram-se da visão da cruz para entreterem-se com seu predileto. Jesus honrou a todos os que lhe haviam dado uma parte de sua confiança e afeto. A morte corporal de seus perseguidores arrependidos não lhe fez esquecer a dívida do coração e o apoio fraternal que lhes devia. Através dos diferentes povos por que passaram, através das honras e humilhações que atraíram para si com seus trabalhos e virtudes, todos descansaram com freqüência em uma mansão preparada por Jesus. A cada etapa espiritual da viagem, eles gozaram das doçuras da reunião.

Firmemente convencido dos decretos de Deus e da justiça destes decretos, Jesus permaneceu tranqüilo espectador das fraquezas, dos erros, dos delitos... e, sempre, honrado por sua missão, esperou com paciência que chegasse a hora de demonstrar-se.

No meio das perseguições, entre os resplendores sinistros das chamas, os povos dormem no embrutecimento. Despertados pouco a pouco pelo eco das alegrias principescas, os povos aspiram o ódio e semeiam o terror entre os representantes da ordem social. No repouso que segue às revoluções humanas, a sabedoria se impõe e o escritor, o pensador, o filósofo, pedem ao passado ensinamentos para o porvir. A liberdade dos povos, mediante as luzes da razão, efetua-se também, progressivamente; e a aliança dos mundos carnais com os mundos espirituais estimula a marcha intermitente do progresso.

Jesus havia conservado relações de século em século, porém não podia deter os movimentos de revolta, nem moderar os efeitos do abuso de autoridade, pois que sua mediação direta e persistente não conseguia vencer as dificuldades da hora muito prematura, para desempenhar-se como verdadeiro parlamentário.

Muitas vezes, no século em que nos encontramos, tentou manifestar-se. Estas experiências foram funestas; e ainda no dia de hoje sua narração contém abstrações de forma, juízos incompletos, porque o espírito depositário, lutando sem descanso contra obstáculos materiais, precisava que Jesus usasse de cautela ao fazer chegar sua palavra, para que o mesmo depositário não tivesse que sucumbir sob o peso de emoções fortes e muito repetidas. As honras da mediunidade não se adquirem sem causar transtornos ao organismo humano e esses transtornos determinam freqüentemente o desequilíbrio das faculdades mentais.

Os escolhos contra os quais tropeçam tantos espíritos, ainda que predispostos para a mediunidade, tinham que ser evitados por aqueles que Jesus favorecia com sua palavra; mas, não obstante o poder de princípio espiritual, quão necessário foi alentá-los continuamente, ampará-los, prometer-lhes e até rodeá-los de precauções! Acaso a natureza humana não é presa de todos os sofrimentos da contradição, de todos os flagelos dos estados mórbidos, de todas as causas, de todos os efeitos das paixões terrestres e carnais?...

Espantosos sofismas preparam as tempestades; Jesus faz ouvir sua voz de apóstolo de Deus à Humanidade, da qual é sempre o Messias, e isto pelas expansões de seu espírito em um espírito humano. Este espírito depositário possui todas as faculdades inerentes à compreensão das obras de Jesus. É de
condição obscura entre os homens e encontra-se ligado a Jesus por dependências de ordem espiritual.

Apesar disto, como as disposições de todo o espírito depositário se prestam para as manifestações de ordem superior ou as esgotam rapidamente, o espírito humano depositário da palavra de Jesus tinha que preferir o isolamento ao bulício e fazer prevalecer as luzes da verdade sobre os interesses temporais, sem o que as tentativas de Jesus teriam resultado vãs.

Irmãos meus, abençoai a majestosa aliança de vosso Messias com Deus e colhei os frutos da doce aliança de Jesus com um espírito humano.

Cumpri minha palavra em manifestar-vos porque vim neste tempo e em tal lugar, melhor que em outro.

Devo acrescentar que vossa atual situação atrai a compaixão de todos os espíritos dignos do amor de Deus.

Que a paz seja convosco, irmãos meus.

Jamais esta palavra foi de uma aplicação tão necessária.

Que a paz seja convosco e que a ciência vos abra os caminhos da felicidade.

Que a paz seja convosco! E que a morte daqui vos dê a vida livre sob os olhares de Deus.


FIM DA PRIMEIRA PARTE

sexta-feira, 2 de maio de 2014

CAPÍTULO XV – Livro: Vida de Jesus ditada por Ele Mesmo Jesus, resolvido a não fugir do perigo, cede, apesar de tudo, uma vez mais, aos rogos de seus amigos e concorda em mudar-se para uma casa colonial distante da que ocupava. Os sacerdotes temiam a oposição do povo e queriam prender o Messias inesperadamente e a sós, para o que conseguiram enganar a Judas, que os serviu a contento. Dá o Mestre suas últimas instruções a seus discípulos, promete-lhes seu auxílio depois de morto e despede-se carinhosamente deles. Jesus é preso.



A última vez que Jesus voltou de Jerusalém a Betânia, manifestou a intenção de não lutar mais, de não fugir mais, e de esgotar o cálice da amargura para obedecer a seu Pai Celeste.

                    “Não me desvieis do objetivo, disse, porém caminhemos
                     juntos. Rodeai-me de carinho e de honras para ocultar a
                     meus olhos a ingratidão do povo e para facilitar o
                     remorso de meus acusadores.

                     “Todos dirão: Pois que o amam, o seguem, tributam-lhe
                      honras, há de ser porque vêem sempre nele o Messias,
                      filho de Deus.

                     “Não vos aflijais pois demasiado por nossa separação
                      carnal, e cumpri minha lei como se ainda me encontrasse
                      entre vós. Minha lei é uma lei de amor; o espírito a ditará
                      em todo tempo.

                      “Paz aos homens de boa vontade!

Eis o que entendo com estas palavras.

                       “O homem vê-se continuamente agitado por desejos e
                        arrependimentos. Sua alma jamais se vê satisfeita, seu
                        espírito é ávido de bens efêmeros, sua vida passa entre a
                        ignorância e a ambição.

                        “Mas se o homem se inicia mediante a vontade na
                         emanação divina, sua alma torna-se livre e feliz, seu
                         espírito percorre caminhos até então desconhecidos, sua
                         vida aspira somente a uma posse, a da ciência.

                        “Sim. — Paz aos homens de boa vontade! — Eles são os
                         obreiros de Deus, os preparadores de seu reino na Terra.”

A festa da Páscoa devia ter lugar, nesse ano, nos últimos dias de março e primeiro de abril (exprimo-me de modo a ser entendido). Quis, como era costume, ir a Jerusalém; porém, não ignorava que a ordem de prender-me seria expedida e que o decreto de morte já tinha sido pronunciado.

Nicodemus, José de Arimatéia e seus amigos, em número de quatorze, haviam-se abstido de qualquer deliberação, não querendo comprometer os meios de servirem-me nos últimos momentos, de salvarem-me talvez. Depois de terem-se esforçado em fazer mudar as disposições do povo a meu respeito, eles recorreram a Pôncio Pilatos, que lhes deu esperanças.

Os dezesseis foram substituídos e ao tribunal reuniram-se dez membros suplentes. Todos condenaram a Jesus como impostor, sedutor, aliado do espírito das trevas. O defensor escolhido pelo tribunal para fazer valer as causas atenuantes de meu delito, havia-se alongado em uma difusa dissertação sobre a monomania religiosa e tinha chegado à conclusão, de acordo com a opinião da gente de Nazareth, que eu não era mais que um extático digno de lástima e desprezo.

                     “É necessário que este homem morra, exclamou o Sumo
                      sacerdote Anás, porque é culpado de lesa-majestade divina, com
                      todo o conhecimento de um doutrinário. — Por que motivos nos
                      vêm falar de monomania, de demência, quando tudo demonstra
                      uma rara perspicácia, uma ambição devoradora, um caráter dos
                      mais perigosos? — Ainda que a demência estivesse provada, é
                      preferível a morte de um homem inconsciente à queda do
                      Sacerdócio e à ruína de uma nação.”

No domingo, 27 de março, teve lugar nossa partida de Betânia. O trajeto foi o mais animado, e as honras tributadas à minha pessoa acariciaram as ilusões de meus discípulos. A pouca distância de Betânia encontramos alguns estrangeiros, cujo número foi aumentando à medida que nos íamos aproximando da cidade. Cedi aos seus desejos de os deixar seguir-nos e entramos em Jerusalém como triunfadores.

Não é verdade que eu estivesse montado em um jumento, porém é certo que me foi proposto, recusando eu o oferecimento.

Muitos se apinhavam a meu redor. Ramos com folhas e flores caíam a meus pés, e o povo de Jerusalém unia-se ao povo nômade para cumular-me de entusiastas demonstrações. O povo é sempre imitador e instrumento. Reproduz-se com seus instintos atávicos e obedece a interesses que não são os seus. Por momentos escravo embrutecido ou déspota insensato, o povo conhecerá a verdadeira força somente mediante os benefícios da educação moral. A educação moral encadeia os instintos e desenvolve a razão. Quando ela se encontre na ordem do dia, as classes dirigentes terão compreendido o verdadeiro progresso e a Terra se elevará para Deus.

Uma das primeiras pessoas que reconheci no meio da multidão, que vinha ao nosso encontro dos arredores da cidade, foi meu irmão Eleazar. Tive que supor que meus irmãos mais velhos estavam juntos e procuravam combater a má influência produzida por meus outros irmãos.

Este dia converteu-se depois para mim numa responsabilidade gravíssima. O povo que se havia demonstrado entusiasmado por minhas últimas honras, acusou-me depois, perante Pôncio Pilatos, de haver levado minhas pretensões
humanas tão longe, até fazer que me chamassem rei.

A sabedoria e boa vontade do juiz romano levaram a cousa de brincadeira.

                    “Provavelmente, disse Pôncio, Jesus se julga o primeiro
                     dos hebreus e a palavra Rei exprime sua idéia. Seja pois Rei dos
                     hebreus! — Mas este rei não pode, sob nenhum pretexto, causar
                     prejuízo à segurança do Império.”

Na tarde de domingo (27 de março) combinamos passar a noite em Jerusalém. No dia seguinte me vi assediado para que deixasse aquelas paragens para sempre; permaneci imperturbável e essa espécie de delírio que precipitava minhas palavras, passou mais tarde como profecia.

Prometi a Marcos chamá-lo o mais depressa possível ao reino de meu Pai, e às mulheres que se ajoelhavam diante de mim, disse-lhes: “Vós tereis a coragem de acompanhar-me até à morte e Deus colocará sobre vossas frontes, como sobre a minha, a coroa do martírio”.

Meus discípulos de Galiléia juravam todos que me rodeariam e me defenderiam até derramar a última gota de seu sangue. Acolhi estas manifestações com um melancólico sorriso e nada respondi. Depois, dirigindo-me a minha mãe, disse-lhe:

                  “Tu tens entre os companheiros de teu filho, minha mãe,
                   um filho e um irmão que te recordarão o ausente e viverás para
                   que não seja negada minha ressurreição como espírito. Da
                   resignação de meus discípulos, da vossa principalmente, depende
                   a conservação de minha doutrina no presente, do mesmo modo
                   que o porvir desta doutrina depende dos sucessores de meus
                   discípulos”.

Consenti em evitar meus inimigos ainda mais uma vez e fomos hospedar-nos em uma casa colonial, onde já em outras ocasiões havíamos encontrado boa acolhida.

Gethsemani, situada em uma paragem elevada de onde se avistava o mar Morto, o Jordão, as planícies e as montanhas de Galiléia, havia de oferecer-nos um abrigo tranqüilo, ao menos por algum tempo.

O povo nos tinha afeição, e os sacerdotes, que temiam mais que tudo as manifestações populares, hostis a seu poderio, ter-se-iam abstido, seguramente, de proporcionar-lhes um pretexto para uma agressão brutal.

Procuraram um meio para apoderarem-se de minha pessoa sem testemunhas e sem ruído e a vergonhosa defecção de Judas foi obra deles.

De meus discípulos de Galiléia, Judas foi o único que não me acompanhou a Getsemani, na manhã de segunda-feira. Alcançou-nos à tarde e sua atitude chamou a atenção de Pedro, que me disse: “Que tem, pois, Judas? Olhai-o quão preocupado está”.

Aproximei-me dele e perguntei-lhe por que nos havia deixado no momento de nossa partida de Jerusalém.

                     “Tinha ainda que visitar algumas pessoas, disse-me, e
                      por outra parte eu tinha desejos de me informar das últimas
                      disposições tomadas a nosso respeito. Elas são de tal natureza
                      que nos tiram toda a esperança de poder fugir à vingança dos
                      nossos inimigos.”

                     “Tu não deves estar triste por uma solução que eu tenho
                      procurado, disse eu. Mostra-te animoso no momento do perigo e
                      guarda a lembrança do Mestre quando já não me encontre
                      convosco.”

Estendi a Judas a mão, que ele apertou fracamente; seu olhar esquivou-se de mim. Entendi...

Indeciso a princípio, tomei depois o partido de dissimular para com ele e de o trazer sob uma pressão a todos os instantes. Entretinha-o, estimulava-o a expansões, para observar melhor suas reticências e suas perplexidades.

Na quarta-feira, Judas propôs visitarmos as plantações de oliveiras que cobriam o flanco da montanha de Getsemani pelo lado de Jerusalém e deu como pretexto de sua lembrança as modificações por que devia ter passado esta localidade. Propus que o passeio se efetuasse no dia seguinte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . .
O lavapés era uma das instituições de João; uma demonstração da igualdade humana. O senhor é o irmão de seu servo. A posição social deixa de existir quando se trata de adorar a Deus. A força moral determina a elevação e o homem demonstra-se muito maior com o cumprimento de seus deveres, que com esplêndidas demonstrações de suas faculdades diretivas. Dei provas do meu respeito pelo apóstolo, adotando muitas de suas práticas religiosas, porém conservei somente as que me pertenciam, pela diferença que estabeleci entre elas. O lavapés era celebrado por mim e meus discípulos, todos os anos, somente na véspera do grande sábado de Páscoa. A Ceia, a grande refeição da noite, precedia a este ato. Nossa refeição da noite tinha uma espécie de solenidade, devido à exclusão de toda outra pessoa, que sempre mantivemos durante nossa vida nômade, quando nos encontrávamos todos reunidos. Meus primeiros doze discípulos e meu tio Tiago manifestavam-se felizes pela resolução tomada por mim de não admitir a nenhum estranho em nossa refeição noturna, e eles aproveitavam esses instantes, que alongavam a seu gosto, para identificarem-se melhor com as palavras e as intenções do Mestre.

Nesses momentos, precisamente, disseram-se e repetiram muitas recomendações. Muitas promessas, e também muitas prédicas, baseadas no conhecimento profundo da natureza humana. A sexta-feira anual do lavapés parecia-me muito longe.

Sentia que um perigo iminente me ameaçava, e queria dar a meus últimos dias os caracteres de uma fatal precisão dos acontecimentos. Por isso, pedi a meus discípulos que procedessem nessa mesma noite ao lavapés. A surpresa de todos afligiu-me, porque deixava-me entrever seus pressentimentos e Judas me inspirou ainda mais piedade que desprezo nesses momentos solenes, em que manifestei a quase certeza de ser, muito breve, aprisionado. O afeto de meus discípulos de Galiléia era sincero; mas duvidei, com razão, de sua firmeza.

Nessa reunião da tarde, que foi a última, eu lhes conferi o título de apóstolos, entrando em particularidades referentes ao que meu espírito entendia dos trabalhos e sacrifícios que deviam levar-se até o fim, do que minha alma encerrava de solicitude e amor, prometendo-lhes o poder de governar o mundo.

                     “Fazei de minhas instruções a regra de vossa conduta e
                      chamai-me quando tenhais que discutir com os homens de
                      má-fé.

                     “Ou seja que permaneçais unidos, ou seja que vos
                      separeis pela boa causa, eu me encontrarei no meio de
                      vós e com cada um de vós.

                     “A fé não perecerá nunca, porém se tornará obscura pela
                      falsa direção dada a meus ensinamentos.

                     “Aos que sustentarem a verdade, eu lhes retribuirei com
                      liberalidade meus consolos e esperanças; porém, ai
                      daquele que se distancie de mim! A voz do espírito
                      retumbará no espírito e os acontecimentos se encadearão
                      de tal maneira, que a verdade se restabelecerá e os
                      impostores serão confundidos e os fervorosos serão
                      recompensados e castigados os tíbios.

                     “A malícia e a perversidade do mundo vos preparam
                      maus dias. Conservai vossa fé pura de todo o fingimento e
                      não ponhais limites à vossa caridade. A força vem de
                      Deus e eu vos transmitirei a força.

                      “Pedi os tesouros de Deus e desprezai as riquezas da
                      Terra. Quem pretenda elevar-se entre os homens, será
                       humilhado diante de Deus.

                      “Vós sois meus apóstolos; pregai a palavra de Deus e
                       anunciai seu reino por toda a Terra.
                      “Vós sois meus discípulos queridos; ajudai os pobres,
                       eles são meus membros; facilitai o arrependimento,
                       prometei o perdão em nome de Deus, nosso Pai.

                      “Tudo o que perdoardes, será perdoado e a graça vos
                       acompanhará na paz e nos perigos.

                       “Não devolvais jamais mal por mal, mas forçai a vossos
                        inimigos que vos respeitem. Comprovai vossa fé mais com
                        obras que com discursos, e no extremo infortúnio
                        recordai minhas promessas e meu martírio.

                       “Estas promessas as cumprirei se tiverdes sido fortes e
                        tiverdes compreendido e praticado o que ordeno e o que
                        eu mesmo tenho praticado.

                       “Uma vida tranqüila não é uma vida de apóstolo e a
                        regularidade da conduta não constitui a virtude de um
                        discípulo. São necessárias ao apóstolo forças e coragem
                        para afrontar o escárnio, o desprezo, a perseguição, a
                        escravidão, a morte; e o heroísmo deve caracterizar os
                        discípulos de Jesus.

                       “O apóstolo demonstrará Deus e sofrerá pela verdade.

                       “O discípulo abandonará os bens do mundo e as honras
                        do mundo. Abandonará o pai, a mãe, a mulher, os filhos,
                        antes que renegar minha doutrina, já seja com os atos, já
                        seja com as palavras, já seja com a abstenção e com o
                        silêncio.

                        “Vós sois meus apóstolos e meus discípulos; eu terei que
                         contar convosco e não obstante... eu sei desde já que
                         muitos de vós me atraiçoarão.”

Encontrava-me à mesa, rodeado pelos doze; meu tio Tiago formava o décimo terceiro e estava para partir o pão e começarmos a refeição. Meus apóstolos levantaram-se bruscamente:

                        “Senhor! Senhor! — prorromperam. — Por que nos
                         causas esta tortura? — Por que chamar-nos traidores,
                         depois de haver-nos confiado o êxito de tua obra?”

                        “Os que me atraiçoarem por fraqueza, respondi eu, se
                         arrependerão; somente o que me tenha atraiçoado por
                         vingança, sucumbirá sob o peso de seu delito”.

Judas mantinha os olhos baixos, porém ninguém lhe prestou atenção além de mim. Recomendei a meus apóstolos que guardassem a lembrança dessa noite e ofereci-lhes o pão; Judas, que se encontrava à minha direita, serviu-se em primeiro lugar. João, colocado à minha esquerda, como sempre, inclinou-se para mim e disse: “Em qual de nós pensaste tu, agora, ao falar de traição?”

Respondi a João:

                        “O que me atraiçoará ocupa neste momento um lugar de
                         honra, porém, outros também me atraiçoarão mais tarde
                         e muitos me abandonarão covardemente ao longo do
                         caminho do sacrifício.”

Continuei servindo os meus apóstolos e insisti para que me deixassem nessa tarefa. Pedro, à minha frente, estava distraído;  não comia nem bebia; dirigi-lhe estas palavras:

                        “Tu já não és o pescador de peixes, amigo meu, estás
                         aqui convertido em pescador de homens. Tuas redes serão
                         agora os argumentos e recolherás em tua barca aos
                         pobres náufragos; teus companheiros te ajudarão na
                         árdua luta, que haverá que sustentar contra os elementos;
                         vós outros não imitareis a esses espíritos arduamente
                         orgulhosos e céticos, que se preocuparão das causas da
                         queda e da enfermidade, antes de socorrer ao ferido e de
                         aliviar ao enfermo.

                        “Feliz daquele que compreenda estas palavras e que as
                         ponha em prática!

                        “Felizes os fortes! Eles submeterão suas paixões à razão
                         e verão outros tantos irmãos em todos os homens.

Conduzir para Deus os insensatos que o desconhecem, os ímpios que o ultrajam e livrar a Terra do fermento da dissolução, é cooperar poderosamente para a concórdia universal.

                         “Convertei-vos em pescadores de homens vós todos,
                          amigos meus, e reuni o maior número de espíritos que
                          possais.

                         “Para ser hábil no ofício de pescador de homens é
                          necessário ter o dom da doçura e da firmeza, o direito de
                          falar e de se fazer ouvir.

                         “Tereis o direito de falar quando vossa consciência se
                          encontre tranqüila, e sereis ouvidos se vós mesmos
                          estiverdes convencidos da verdade que ensinais.

                         “A elevada posição de um servo de Deus não ressalta no
                          mundo porque a força e a luz que se encontram nele, não
                          as emprega jamais para proporcionar-se nenhum
                          poderio. As honras e as riquezas não poderão portanto
                         ser o privilégio de meus apóstolos e, se eu lhes asseguro o
                         império do mundo, é com a condição de que sejam ternos
                         de coração, firmes de espírito e que conservem o direito
                         de falar e o dom de serem escutados.

                        “Os preguiçosos se converterão fatalmente em hipócritas.
                         Não havendo tido a coragem de me seguirem deixarão
                         que se espalhem dúvidas a respeito de minha pessoa; e o
                         desejo de alegrias mundanas, a sede de honras, o amor
                         das riquezas, os arrastarão às prevaricações, à vergonha
                         de parecerem discípulos meus, entretanto me negarão
                         também com ações ocultas.

                        “Porque haverá preguiçosos e hipócritas, Jesus se
                         manifestará novamente para separar o trigo do joio.

                        “O que não é por mim é contra mim. Todo o equívoco é
                         uma mentira; a verdade sou eu.

                        “Nada temais, vos ampararei e vos auxiliarei, e meu
                         espírito manterá o lugar que ocupam agora meu corpo e
                         meu espírito no meio de vós.

                         “Eis a hora cuja aproximação me enche de angústia, não
                          por mim, senão por vós. Nunca, como agora, vos hei
                          amado. Honrai-me quando não estiver já entre vós,
                          amando-vos uns aos outros e perdoando aos que vos
                          tenham ofendido.

                         “Permanecei fiéis à minha voz e adorai ao Senhor nosso
                          Pai, predicando em todas as partes a paz e o amor.

                         “Não tomarei mais deste suco de uva convosco; mas
                          quando vos reunirdes em minha memória, sentireis minha
                          presença na alegria que se infiltrará em vossas almas, na
                          certeza de vossos espíritos sobre todas as cousas.

                          “Penetrai minhas palavras na atividade do apostolado do
                           mesmo modo que no silêncio de vosso recolhimento, e o
                           que tiverdes de pedir para o culto de Deus vô-lo
                           recordarei. Mas não enfraqueçais vossos conhecimentos
                           das cousas espirituais, misturando-lhes cousas da Terra.
                           Nossa aliança é a este preço, quer dizer, que deveis
                           desprezar o que eu tenho desprezado e honrar o que eu
                           tenho honrado.

                           “Os discípulos não são mais que o mestre, ensinai pois
                           minhas doutrinas sem tirar-lhes nem acrescentar-lhes
                           nada e refutai as dúvidas e os erros de maneira a
                           convencer aos incrédulos a respeito de vossa ciência.
                           Esta ciência não vos abandonará; o espírito beberá no
                           espírito, e, até o fim dos séculos, a graça resplandecerá
                           para os homens de boa vontade.

                          “Meus queridos discípulos: amanhã talvez nos
                           separaremos. Amai-me como vos tenho amado e confundi
                           a todos os homens no vosso amor, na minha lembrança.
                           Dou-vos o mundo para conquistar e minha luz vos guiará.
                           Prometo-vos a glória de Deus.

                          “Nomeio-vos meus sucessores e vos abençôo.

                           “Que a paz seja convosco e com vosso espírito.

                            “Vinde dar-me o beijo da despedida”.

Meus apóstolos precipitaram-se sobre mim. Eu permaneci de pé e meu semblante refletia uma intensa emoção. Judas beijou-me como todos.

Era meia-noite quando enxugamos os pés de meus apóstolos. Digo enxugamos porque meu tio Tiago, cuja ternura por mim se associava a um profundo sentimento de devoção prática, me ajudava todas as vezes que devia manifestar com uma tarefa pessoal, o culto de uma idéia religiosa. Nesta ocasião suplicou-me que lhe cedesse a maior parte do sacerdócio; é a palavra que empregou.

Eu limitei-me a servir a Judas, Pedro e Filipe, dando como motivo de minha preferência a idade mais avançada desses três apóstolos.

Todos os meus esforços tinham que ser em vão. Judas não quis acreditar em meu carinho, nem compreender que eu o havia adivinhado, nem admitir que me sentia pesaroso por minhas anteriores predileções, nem aplacar o orgulho para escutar a consciência.

Na quinta-feira pela manhã me senti algo consolado da ingratidão, devido a uma prova de amor. Simão de Betânia e seu parente Eleazar vieram visitar-me.
Minha mãe e as demais mulheres mandaram-me suplicar que as recebesse em meu retiro e meus três irmãos mais velhos desejavam reunir-se a mim no meio da sorte adversa, Marta encontrava-se entretanto em Betânia, devido à sua fraqueza, encontrando-se cada vez mais enfermiça, na casa da irmã, a quem havia ocultado minha fuga de Jerusalém. Confiei a Simão o encargo doloroso de preparar meus amigos para o fatal desenlace e volvi sobre o tema de que o dia estava próximo, que minhas horas estavam contadas e que a reunião de nossos espíritos teria lugar na casa de meu pai.

Estas palavras provocaram a terna emoção de Simão, tive-o abraçado por largo tempo e minhas lágrimas se confundiram com as suas. Alguns instantes depois Simão e Eleazar empreendiam o caminho de regresso a Jerusalém.

Eu havia negado a todos a permissão para me acompanharem a Getsemani, porque queria consagrar o tempo que me ficava livre, às expansões de minha alma diante dos que escolhi para meus sucessores. Existia ainda outro motivo para esta disposição de meus últimos dias; a presença de minha mãe e de minhas santas companheiras teria constituído um perigo real nos momentos em que o apóstolo, o fundador, o homem, devia encontrar suas forças para preencher a missão de Deus. Jamais minha confiança e meu amor se haviam traduzido em tão grande abandono e ardor, jamais a demonstração do porvir se manifestou tão clara de entre o encadeamento de minhas visões espirituais.

                           “Vós sois minha carne, sois meu sangue, dizia eu, meu
                           espírito está em vós e todas as potências da Terra não
                           conseguirão predominar sobre o vosso poder, que será
                           universal.

                          “Se não recordais todas as minhas palavras, conservai
                           seu espírito, escolhei entre minha pessoa e o mundo, para
                          não servir a dois senhores.

                         “Ainda que vos separeis de mim por algum tempo, mais
                          ou menos longo, minha doutrina não deixaria, por isso,
                          de ser a luz do mundo, porque outros virão depois de vós,
                          os quais reporão o que vós tiverdes tirado e escutarão
                          minha voz. Eu lhes direi tudo o que vos disse e Deus terá
                          seu templo em toda a Terra.

                         “O mundo está povoado de hipócritas. Eles fazem o
                          contrário do que se manda; outros honram publicamente
                          o que renegam no íntimo de sua consciência; meus
                          discípulos terão que proclamar a verdade e seguir a
                          moral que ela encerra; a estes eu os reconhecerei.

                         “O mundo está povoado de fanáticos, de supersticiosos e
                          de incrédulos; meus discípulos terão que instruir os
                          ignorantes e convencer os incrédulos, com exemplos de
                          virtude e com a referência de nossa aliança, antes e
                          depois da morte corporal.

                         “Favorecerei somente àqueles, cujo espírito seguir meu
                          caminho e que compartilharem, do fundo de sua alma, de
                          todos os infortúnios.

                          “Concedo-vos meu poder; porém, se vos tornásseis
                           infiéis, eu vô-lo retiraria, e minha luz seria retardada no
                           mundo, e o nome de Deus seria blasfemado, e a
                           desolação, a confusão, o delito e a impiedade reinariam
                           em todos os lugares.

                          “Sede meus substitutos, e não somente meus sucessores, e
                           dizei: Somos sua carne, seu sangue, seu espírito: O que
                            fazemos em sua memória, o Senhor o ordena e o cumpre
                            em nós.”

Irmãos meus, o sentido destas palavras: Vós sois minha carne, meu sangue, meu espírito, o sentido destas palavras, repetidas muitas vezes durante meus últimos dias, foi tergiversado, com o fim de erigir um dogma ímpio e ao mesmo tempo falho de razão.

                           “Fazei todas as cousas em meu nome, obrai como se me
                            encontrasse visivelmente entre vós”, são formas que eu
                            empregava com freqüência, para dar à presença de
                            meu espírito a autoridade da lembrança de minha                     
                            vontade  imutável; para incrustar no pensamento de
                            meus apóstolos o mais irresistível de meus meios de
                            ação, sobre suas práticas futuras. É justamente ao
                            império exercido por minha promessa renovada,
                            de encontrar-me sempre entre eles, que se deve
                            atribuir a docilidade fervorosa de meus representantes 
                            imediatos.

O passeio projetado devia ter lugar ao cair do dia. Meus apóstolos pareciam tê-lo esquecido e o próprio Judas permanecia sob o encanto das melodias da alma.

Eu evocava a realidade do passado e os fantasmas do porvir. Todos participavam por igual de meus transportes de ternura, e meus olhares, meus sorrisos, os enchiam de alegria.

Eu tinha a certeza de que se ocultava uma surpresa sob as aparências de uma descuidada curiosidade, quando lembrei a meus discípulos a hora favorável para que nossa excursão não fosse turbada por importunos, nem ameaçada por uma completa escuridão ao regressarmos.

Saímos, uns alegres com a idéia de que meus pressentimentos do dia anterior não fossem confirmados, os outros silenciosos, quase tristes.

Manifestei a Judas meu desejo de percorrer com ele o caminho até o jardim de Getsemani e apoiei-me em seu braço.

Falamos de cousas inteiramente secundárias, durante quase quarenta minutos de caminhada, depois sentei-me à sombra de uma figueira e meus apóstolos tomaram assento sobre diversos montões de pedra. Judas afastou-se de mim; eu havia previsto isto.

Dirigia ao redor olhares distraídos para os espessos bosquezinhos de oliveiras, cuja extensão e espessura impedia a vista por todos os lados.

Levantei-me depois de alguns instantes de descanso, chamando Judas meu companheiro de jornada. Foi chamado inutilmente.

Então pronunciei palavras de acusação que não podiam ser alteradas por nenhuma dúvida, dada a sua clareza.

                         “Aquele que vós chamais está aqui perto, ele está para
                          chegar. Quando o vejais, a vítima será entregue ao verdugo.”

Os gritos, as imprecações de meus apóstolos ouviram-se ao mesmo tempo que chegava até nós o ruído do passo pesado de muitos homens. Judas não apareceu; tinha-lhe faltado a audácia do delito no último momento.

Os soldados, com divisas romanas, eram em número de oito; dois familiares do Santo Ofício os acompanhavam; estes últimos apontaram-me à tropa armada e um soldado deitou-me as mãos. Pedro agrediu este homem; eu me apressei em repreender a meu apóstolo com estas palavras:

                         “Acalma-te, amigo meu, a resistência é inútil. Sem curvar 
                          cabeça como culpados, convém saber sofrer a lei humana  
                          com resignação”.

João enlaçou-me com os braços, meu tio Tiago implorava a Deus, de joelhos, e meu irmão deitou a correr em direção a Jerusalém. Todos os outros pareciam presa do terror. Mateus, Tomé, Alfeu, Tiago, o irmão de João, acompanharam-me até à casa do Sumo- Sacerdote Caifás; Lebeu, Filipe, Judo, Simão, irmão de Pedro, voltaram a Getsemani. Depois de minha morte foram juntar-se com os que estavam escondidos em Jerusalém.

Fizeram sentar meus discípulos em um banco do pátio e a mim introduziram-me em uma espaçosa sala, onde se encontravam reunidos Caifás, o Sumo sacerdote Anás, genro de Caifás, e uma delegação do Sinedrim composta de vinte membros. O Sumo-Sacerdote procedeu imediatamente ao meu interrogatório:

                         “Jesus de Nazareth, és acusado de sedução, de
                          profanação, de malefícios e como tal se vos condena à
                          pena de morte.

                         “Para obedecer à lei que te castiga, devemos ouvir tua
                          defesa pessoal e facilitar a tua confissão ante a exposição
                          das acusações que pesam sobre ti. Aqui está o resultado
                          dos depoimentos que recolhemos.

                         “O nazareno Jesus associou-se principalmente a fatores
                          de desordem, que tinham o propósito provado de sublevar
                          o povo contra as leis do Estado.

                          “Além disso o nazareno Jesus pronunciou-se
                           publicamente contra o respeito devido aos poderes civis.
                           Disse-se reformador da lei mosaica, mediador entre Deus
                           e os homens, filho de Deus, afinal.

                           “Apoiado neste título monstruoso, por sua impiedade, o
                            nazareno Jesus converteu-se em ídolo de um povo
                            ignorante ao qual anunciava o pretendido reino de Deus,
                            conseguindo cativá-lo cada vez mais, com a aparência
                            sobrenatural de seus atos e de suas predições.

                           “Jesus de Nazareth, ousas sustentar que és filho de Deus?

                           — Interrogo-te, responde.”

Esta frase era provocada por meu silêncio; meu silêncio continuou.

                           “E teus milagres, demonstra-os, pois, acrescentou com
                            dureza o Sumo sacerdote. Dize o que possas para atenuar
                            teus delitos e demonstrar a ciência de que pretendes ser
                            possuidor”, continuou Anás.

                           “Se produzires um milagre, continuou Caifás,
                            acreditaremos em ti e proclamaremos tua filiação
                            divina.”

Um desprezível sorriso acompanhou estas palavras. Levantei a cabeça e encarei meus juízes.

Muitos gritaram: Provoca-nos, não liga importância à justiça de Deus, merece o suplício destinado aos maiores delinqüentes, aos mais endurecidos malfeitores!

Ordenaram aos soldados que me levassem.

De um quarto baixo, que dava para o pátio, me foi fácil compreender os propósitos que abrigavam meus apóstolos e os subalternos da casa do Sumo-Sacerdote. Os soldados da guarda foram jogar e parecia haverem-me esquecido.

                          “Acompanhais o condenado?” — Perguntou alguém a Pedro.

                          “Não conheço esse homem”, respondeu meu apóstolo.

João e seu irmão pareciam estar em boas relações com uma pessoa que os aconselhou a sair para não se comprometerem. Eles seguiram o conselho.

Meu tio Tiago renovou diante de todos o juramento de antes morrer que renegar sua aliança comigo. Arrastados por este ato de coragem e lealdade, Marcos, Alfeu e Tomé assentiram que eram meus discípulos e acrescentaram que não me abandonariam.

Pedro e os dois filhos de Salomé eram os que mais haviam demonstrado, exteriormente, sua ternura por mim, dando à amizade as delicadas formas da feliz expressão do semblante e das doces inflexões da voz. Fazendo da submissão o melhor atrativo para a ocupação de seu tempo, tive que vencer muitas dificuldades, para que a excessiva ingenuidade de Pedro desse lugar à independência do pensamento, para que a fogosa imaginação dos dois irmãos se aproximasse ao entusiasmo das naturezas generosas, para guiá-los, até confundir comigo sua vontade e suas esperanças. Esta fraqueza de última hora
ultrapassou minhas previsões.

As diversões dos soldados abafaram os ruídos exteriores, e depois de assistir a cenas triviais de jogadores ébrios, fizeram-me o alvo dos gracejos grosseiros desses homens estúpidos e ferozes.

Quando amanheceu, muitos dormiam, outros estavam novamente bebendo e queriam obrigar-me a que bebesse com eles.

Ataram-me juntas as mãos para conduzirem-me à presença do procurador romano.

A arquitetura do pretório era de estilo grego, do qual mostrava suas colunas carregadas de ornatos; blocos de pedra simulavam balcões em todas as janelas, entablamentos em todas as plataformas que ligavam, em todos os pisos, dois corpos paralelos de construção.

O pretório ocupava um espaço bastante extenso. Uma sala aberta para o público, que oferecia a facilidade de reunião e de palestrar, enquanto não chegava o momento de comparecer, por si ou por intermédio de outros, para algum assunto contencioso ou delituoso.

As sentenças civis eram, prévia apelação, confirmadas ou reformadas pela alta magistratura civil, que tinha seu assento no pretório e que se pronunciava, resolvendo, em última instância.

Os castigos corporais e a pena de morte, qualquer que fosse a religião do condenado e a autoridade que houvesse imposto o castigo, deviam receber a confirmação do delegado da soberania imperial romana, e este delegado era então Pôncio Pilatos.

Pôncio tinha quarenta e dois anos. Era um homem de reto sentir, de caráter débil, terno e afável; porém ambicioso e sempre pronto a sacrificar suas convicções para conservar o lugar que se havia tornado de difícil desempenho, devido às dissidências que diariamente se suscitavam entre os interesses opostos de um povo misto e em luta com as exigências do partido hebreu.

Pôncio detestava os hebreus; porém não queria colocar-se muito abertamente em conflito com eles, porque havia sido já apontado por antigas comunicações partidas do ex-Sumo-Sacerdote Anás, como um inimigo sistemático das formas religiosas e das disputas teológicas, questões, diziam as comunicações, que não pertenciam ao procurador.

Apenas Pôncio me viu, passou a mão pela fronte como para desfazer um pensamento, cuja lembrança o fatigasse. Em seguida dirigiu-me as perguntas do costume às quais respondi singelamente e sem excitação.

                         “Que delito cometeu este homem?” — Perguntou Pôncio,
dirigindo-se a um personagem cuja missão parecia ser a de  acusar-me e a de estipular a natureza de minha condenação.

                        “Jesus de Nazareth, respondeu o interpelado, é um
                         revolucionário, um renegado, um fabricante de milagres.
                         Comprometeu a ordem pública e atribuiu-se o poder divino.”

“O subornador, o impostor foi julgado por direito sagrado,  
 porém   o demonstrador das liberdades humanas, que
                           está por cima das potências humanas, o devastador das leis
                           sociais, o predicador da igualdade, o desmoralizador das classes
                           pobres, encontra-se sob juízo perante o representante do
                           imperador Tibério.

                         “Jesus, o filho de Deus, será lapidado como ímpio, ou
                          Jesus de Nazareth, culpado perante Deus e perante o imperador,
                           sofrerá melhor o suplício da cruz? — Nós apelaremos para o
                           povo se for necessário.”

Pôncio ficou estupefato ante tanta audácia. Desta maneira nem mesmo sua opinião se pedia, antes de apelar para o povo.

Este povo acolhia, gritando desaforadamente, as palavras que o instituíam juiz supremo, palavras que haviam sido pronunciadas ao ar livre, sobre uma das plataformas de que falamos.

“Que se crucifique!” — Este grito foi imediatamente repetido de   todos os lados.

“Intitulou-se Deus e Rei; fez alarde de destruir o templo e  reedificá-lo em três dias!”

Pôncio respondeu que o título de rei parecia-lhe um termo de elevação somente entre os hebreus; este modo de iludir a questão do cargo político que se me reprochava, levantou contra mim as mais formidáveis ameaças, os mais amargos sarcasmos.

                       “Pois bem, se é nosso rei, ponhamos-lhe uma coroa,
                        demos-lhe um cetro e saudemo-lo ao mesmo tempo, Rei dos
                        hebreus e filho de Deus.”

                        “Diz-nos pois, filho de Deus, seria pelo menos necessário
                         esconder tua mãe, teus irmãos e irmãs. Ah! Já te daremos
                         reinado, até tua entrada no reino de teu Pai, duplo Rei, duplo
                         impostor!”

Pôncio estava desesperado pela inutilidade de seus esforços. De repente deu ordem para que me desatassem as mãos e anunciou que queria interrogar-me a sós.

Entrei, precedido por Pôncio, em uma sala mobiliada com severidade, cujas saídas estavam todas fechadas. A porta foi fechada pelo lado de dentro pelo procurador, que me ordenou amavelmente que me sentasse, declarando-me que ali não estavam mais que dois homens, dos quais um perguntava ao outro os motivos que o induziram a buscar a morte, atacando a própria essência da lei mosaica e a persistir no propósito de morrer, pois que havia desprezado as possibilidades de fugir de seus inimigos.

Expliquei a Pôncio minhas inspirações de criança, meus estudos de homem, minhas alianças, minhas esperanças de espírito na luz infinita; fiz-lhe, a grandes traços, um extrato de minha doutrina, das relações entre os mundos e os espíritos, e apresentei a morte ignominiosa, que me esperava, como o glorioso coroamento de minhas honras como Messias.

                          “E se eu conseguir salvar-vos?” — interrompeu Pôncio.

                          “Não o intentes, respondi-lhe eu, tu mesmo te verias
                           arrastado pelo furacão popular... escuta...”

Pôncio sorriu desprezivelmente.

“Consente em viver retirado, disse, ganharei tempo e  
 empregarei a força.”

                            “Por outra parte, acrescentou Pôncio, tive um sonho a
                             noite passada a teu respeito e sinto que uma pesada
                             responsabilidade me pertence no presente e para o porvir.”

                             “Esses sacerdotes que querem a tua perdição me
 desprezarão por haver tido medo deles; este povo se  
 arrependerá e a posteridade me acusará, quando menos, 
 de fraqueza.”

                            “A posteridade, exclamei, saberá que tu me ofereceste a
                             vida e que eu quis morrer.”

                            “Para mim a morte é uma auréola; para mim a vida seria
                             uma deserção, uma covardia, uma queda irreparável.”

Levantei-me indicando assim eu mesmo o fim da entrevista, e acrescentei:

                            “Da casa de meu pai, na qual estou para entrar, te
abençoarei, porque compreendeste a verdade 
e a  defendeste com coragem.”

Voltamos ao lugar que havíamos deixado há pouco menos de uma hora. A multidão era mais compacta e o clamor se tornava sedicioso; ameaçava-se a Pôncio, pedia-se que eu lhes fosse imediatamente entregue.

Havendo conseguido um pouco de silêncio, Pôncio pronunciou estas palavras:

                          “Este homem, cuja morte vós pedis, é um justo.”

                          “Não tereis de mim um decreto afirmativo em nome do
                           imperador. O sangue inocente que estais para derramar, caia
                           sobre vós; lavo minhas mãos por tudo o que suceder.”

E Pôncio Pilatos fez derramar água sobre suas mãos em presença do povo que redobrou em vociferações.

Pôncio entrou novamente em seus aposentos. A pessoa encarregada de dirigir os preparativos das execuções perguntou ao povo qual dos quatro delinqüentes, cuja morte estava marcada para esse dia, queria que se lhe concedesse graça de acordo com o costume.

                          “Não a nosso rei, exclamou a multidão; libertai aquele,
                           dentre os três restantes, que mais vos agrade.”

Entretanto, como entre esses três se encontrava um ladrão e assassino dos mais perigosos, e perfeitamente conhecido, tiveram a idéia de opor-nos um ao outro; para despertar, se ainda existisse nesse povo, um sentimento de justiça.

Pois bem. O povo condenou-me uma vez mais ainda! Desde esse momento fui convertido em joguete de uma multidão insensata e os soldados, encarregados de minha custódia, uniram-se ao populacho. Sobre minha cabeça foi colocada uma coroa de espinhos, sobre meus ombros um pano de cor escarlate (isto passou-se em um dos pátios do pretório), e todos se inclinavam diante de mim dizendo:

                            “Saúdo-te, Rei dos hebreus.”

Muitos me bateram, um cuspiu-me no rosto. Ao cabo de duas horas de diversões abjetas e cruéis me despiram de minhas vestes e sobre meu corpo, completamente nu, aplicou-se a tortura da flagelação. Duas lágrimas me queimaram as faces. Foram as últimas.

Era meio-dia quando cheguei ao Gólgota.

Minhas forças estavam exaustas e não me haviam permitido levar o instrumento de meu suplício, que era um tronco de árvore, dividido e ajustado em forma de cruz, e eu mal podia suster-me em pé, quando meu corpo desnudo foi exposto às zombarias mais ignóbeis da mais asquerosa plebe.

Mas desta vez, pelo menos, meu espírito, concentrado em radiantes perspectivas, perdia de vista os homens e suas espantosas demências.
Meus pensamentos sobre a cruz tiveram principalmente por objetivo os autores de meu martírio, os ingratos e os fracos, e exclamei:

                          “Perdoa-lhes, Pai, porque não sabem o que fazem!”

Meus sofrimentos sobre a cruz foram a causa da fraqueza do espírito, e disse:

                          “Meu Pai: Por que me abandonaste?”

Minha consolação sobre a cruz foram a recordação de meus amigos, minha confiança em suas promessas. Divisando minhas santas companheiras e minha mãe protegida e amparada no meio delas, Tiago, o digno irmão da heróica Maria, Marcos, Pedro, os dois filhos de Salomé, abençoei os arrependidos e, mais do que nunca, acreditei na inquebrantável fidelidade futura de todos.

Continuavam injuriando-me sempre... Um letreiro com estas palavras: Eis o Rei dos judeus! foi colocado sobre minha cabeça.

Dois delinqüentes sofriam a meu lado o mesmo suplício; porém, contrariamente ao que se diz, eles não me insultaram.

Os soldados que me haviam crucificado repartiam minhas vestes entre si e lúgubres gracejadores dirigiam-me palavras como estas:

                         “Desce da cruz e acreditaremos na tua divindade.

                         “Chama teu pai para que venha libertar-te e pronuncia
                          nossa condenação fazendo-nos morrer antes que tu.

                         “Dá-nos um cartão de entrada, Jesus, a fim de que nos
                          seja concedido gozar de teu triunfo no reino de teu Pai.”

Meus olhos se nublaram: uma opressão mais violenta que as outras me confundiu e adormeci nas trevas humanas para despertar no seio das luminosidades divinas.


Eram mais ou menos três horas.